Îzaak Engelenburg - Marchand Nanban [Miyamoto]

Nom : Engelenburg
Prénom : Izaak
Sexe : Homme
Age : 28
Clan : Miyamoto
Profession : Marchand Nanban
Armes : Arquebuse Epée a deux mains, Hache a une main

Berzerk: Bien qu'Izaak soit un tireur émérite et capitaine de qualité, c'est au corps-à-corps qu'il excel. Dans les situations les plus désespérées, ces hommes l'ont déjà vu entrer dans une terrible fureur berzerk. Les yeux révulsés et la bave aux lèvres, ce guerrier Nanban, est capable de balayer un régiment complet à lui seul, ignorant la douleur et les blessures infligées par ses adversaires. La transe guerrière le rend incapable de différencier amis ou ennemi, il massacrera quiconque se met sur son chemin. Apres chaqune des ses crises, Izaak est plongé dans une profonde létharigie pouvant durer jusqu'a une semaine, selon la violance et la durée de la colère berzerk.

Malgré un visage buriné et creusé par les années passées à naviguer et a bataillé sur tous les fronts, Izaak semble prendre un soin particulier de son apparence physique. Les cheveux châtains coupés court, une moustache et un petit bouc pointu parfaitement taillés. Il prend soin de se lisser la moustache avec une huile parfumée afin de couvrir, en toutes circonstances, l'odeur de la crasse des soldats, les effluves de poudre à canon et du sang.

Ce jeune Hollandais a, comme tout guerrier, son lot de cicatrices qui parcourt son corps longiligne. 75 kg de muscles secs pour 1,78 m.

Attaché à ses origines, malgré sa récente arrivée au Japon, il est généralement habillé dans la plus pure tradition hollandaise, étoffes riches, dorures et un grand couvre-chef noir, qui ne le quitte jamais, que ce soit sur la piste de danse ou sur le champ de bataille.

Plusieurs années dans l'armée Hollandaise ont fait d'Izaac un homme déterminer et sans pitié. Sans faire spécialement preuve de cruauté, il ne fait jamais de quartier à un ennemi. S'il y a bien une chose qu'il a apprise pondant la Guerre de Hollande, c'est que le feu, l'emport toujours sur l'honneur.

Étant fils de marchand, il a été élever pour devenir l'héritier. C'est un homme instruit, verser dans la science des mathématiques et de la cartographie. Cette éducation le pousse à voir ses hommes et ceux qui ne font pas partie d'une élite intellectuelle comme des pions sacrifiables pour arriver à ses fins.

Bien que son but soit d'enrichir sa famille, la raison qui le pousse à s'aventurer dans cette terre inconnue, perdue en pleine guerre civile, c'est sa nature profonde. Ces années de combat on fait d'Izaak un véritable accro à l'adrénaline. Le seul endroit où il se sent vraiment chez lui, c'est dans le chaos d'un champ de bataille.

À la sortie de la guerre de Hollande, en 1678, Izaak revient chez lui, après 7 ans passer sur le front. La gueuse n'ayant épargné ni son père ni la fortune familiale, il doit trouver une solution pour renflouer les caisses et éviter la faillite totale. Les récits des navigateurs parlent d'une terre peu explorent dirigé par des clans bataillants sans cesse pour le pouvoir. Ou il y a la guerre, les marchands d'armes son roi.

Il rassemble donc le maximum d'informations sur cet archipel, le Japon. Dans un pays ou le sabre et la lance forment le gros de l'armement, les gens seraient prêts à acheter à tous les prix des arquebuses capables d'ignorer toutes les armures et des couleuvrines pouvant décimer des régiments. Quelle espèce de fou refuseraient les services d'artilleurs et de mercenaires rompu à l'utilisation de ces armes.

Faisant jouer les relations de son père, Izaak fonde un accord commercial avec les Van Breud, des amis de longue date de la famille Engelenburg. Les termes sont simples; Les Engelenburg et les Van Breud finances ensemble une expédition vers le Japon. On affrète une Caravelle avec à son bord une cargaison d'arquebuse, une bordée de couleuvrine et un équipage formé par la Guerre de Hollande.

Quand les côtes japonaisent apparaisse, un matin brumeux du printemps 1680, c'est le sourire aux lèvres qu'Izaak crie a ses hommes "Faite gueuler les chiens verts ! Que les barbares nous entendent !" Le bruit des couleuvrines a fait tressaillir les villages côtiers ce matin-là.